Sa vie était coupée, tel des vidéos-clips, que l'on aurait monté côte à côte. Le fil conducteur de sa vie était dans la peinture, mais des périodes fauchées succédaient à des époques friquées. La déprime d'être ignorés l'enthousiasme du succés.Seul devant sa toile, ou un pan de mur, dans un café parmi un groupe plus où moins artiste, avec une femme ou avec Elian, dans sa chambre, où dans la rue, des scénes différentes collés. Les uns à la suite des autres par un moteur ivre.Riedid - 1985
1 commentaire:
juste un petit texte de mon frangin
Riedid de 1985, que je mets avec plaisir ici.
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