De nouvelles émissions de TV-réalité apparraissent chaque jours. Que peut on y voir ? Seuleument une succession de personnes du "peuple", d'ancinnes stars déchus, et des présentateurs, le plus souvent jeunes, parfois inexpérimentés, souvent omniprésent dans les nombreuses émissions.
L'important n'est pas qui peut on voir, mais plutôt : Qui n'y voit on pas ? Car c'est à ces gens là que s'adressent réellemnt ces moments de débilité profonde.
On peut y voir des jeunes, simples, aux dents longues peut être, qui acceptent d'être observés toute la journée par des caméras et des téléspectateurs impudiques. Ils acceptent d'être ridiculisés en public, pris comme témoins, comme exemple par une tranche de la société, qui y voit soit un miroir d'eux même, soit une sorte de documentaire scandaleux d'un peupple, duquel ils se sont séparés depuis des années.
Ces émissions sont destinés à la majaorité comme un exhutaoire de leur propre médiocrité, et à une minorité, comme une sorte de documentaire sur des gens qu'ils ne connaissent pas, et qu'ils ne comprennent qu'à peine, mais y trouve plaisir, dans le ridicule de situation. On ne peut s'y tromper, ces émissions sont les dignes successuers des piéces de Marivaud, ce théatre "petit bourgeois", grossier vulgaire, mais semble-t-il drôle.
avec une société qui prouve chaque jour, que l'ensemble de la population est frappée de cette grangrène, on ne peut plus douter sur l'aboutissant de ce divertissement.
Il s'agit de divertir la masse de la "petite bourgeoisie", bien tranquillement installée chez elle, en la laissant regarder par la lorgnette, une population qu'ils ne veulent ni rejoindre, ni assimiler, ni aceuillir, tout ça par un sentiment de peur de sombrer ou de perdre.
Cette tranche de la population ose utiliser ces semblables, dans un immense Zoo-Humain, ppour subvenir à leur besoin de divertissement, en l'agrémentant parfois d'un de leur congénère, pour pimenter encore la scéance. Il s'agit bien d'un "Théatre de l'humanité", d'une vaste escroquerie audiovisuelle, destinée à asservir, afin que nul ne se rende compte de sa situation.
"Le bourgeois n'a pas de goût".
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