Diplomatic Washing machine
climb down from cloud cuckoo land
Dish this dirt for senile convert
Clean living as in the adverts
CHORUS
And in this brave new world
Proud is the Philistine
And in this brave new world
Who needs the sun to shine
Dig this grave, don't make no waves
Fairy tales and stagnant pools
YOu call this living, well I call you fool
This ideal vision propped up on a astool
CHORUS
Blank cheques-prosperity
What do you want, what do you want from me
I'm ever so sorry-I'm ever so sorry
I can't help you-I can't even help me
CHORUS
And proud is that mirror of mine
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15 janvier 2010
20 novembre 2009
CAMERA SILENS ESPOIRS DéçUS
Ils parlaient souvent de l'Espagne
De corridas, d'espoir déçus
Et d'une révolution morte
Avant d'avoir vécu
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils parlaient aussi de leur terre
Balayée par le vent
Quand le feu avait ravagé
Leurs rêves de liberté
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils avaient crus qu'en se levant
Du haut de leurs quinze ans
Le soleil sécherait le sang
Ce fut l'exil pourtant
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Et quand les roses ont repoussé
Au-delà des Pyrénées
Ils étaient trop vieux pour repartir
Alors ils sont restés
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils parlaient souvent de l'Espagne
De corridas, d'espoir déçus
Ils parlaient aussi de leur terre
Balayée par le vent
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
De corridas, d'espoir déçus
Et d'une révolution morte
Avant d'avoir vécu
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils parlaient aussi de leur terre
Balayée par le vent
Quand le feu avait ravagé
Leurs rêves de liberté
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils avaient crus qu'en se levant
Du haut de leurs quinze ans
Le soleil sécherait le sang
Ce fut l'exil pourtant
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Et quand les roses ont repoussé
Au-delà des Pyrénées
Ils étaient trop vieux pour repartir
Alors ils sont restés
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
Ils parlaient souvent de l'Espagne
De corridas, d'espoir déçus
Ils parlaient aussi de leur terre
Balayée par le vent
Souvent ils fermaient les paupières
Au fond de leurs yeux la lumière
08 novembre 2009
30 août 2009
Calvin Russell - Soldier
I'm just a person
I don't claim no country
I just don't need a flag
To say who I am
Well, I come from my momma
Like you and your brother
This world is yours
It's all in your hands
I'm just a soldier
Fighting the sorrow
Holding my head up high
Won't beg steal or borrow
Oh and if not today
If not today - if not today
Then maybe tomorrow
I'm only human
So I'll make my excuses
But there's one thing I know
One thing I can see
It might be too late
To change where we're goin'
But in your own mind
You can always be free
I'm just a soldier
Fighting that sorrow
Holding my head up high
Won't beg steal or borrow
Oh and if not today
If not today - if not today
Then maybe tomorrow
Maybe tomorrow
I don't claim no country
I just don't need a flag
To say who I am
Well, I come from my momma
Like you and your brother
This world is yours
It's all in your hands
I'm just a soldier
Fighting the sorrow
Holding my head up high
Won't beg steal or borrow
Oh and if not today
If not today - if not today
Then maybe tomorrow
I'm only human
So I'll make my excuses
But there's one thing I know
One thing I can see
It might be too late
To change where we're goin'
But in your own mind
You can always be free
I'm just a soldier
Fighting that sorrow
Holding my head up high
Won't beg steal or borrow
Oh and if not today
If not today - if not today
Then maybe tomorrow
Maybe tomorrow
18 août 2009
Les Cadavres - 7h23
Le train charrie les fourmis travailleuses
Carte orange correspondance routeuse
La chair se vend pour des dollars
Chacun sa place chacun sa part
Radio fourre tout télé immonde
Ne pas s’en faire ainsi va le monde
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
Portillons, escaliers mécaniques
Entonnoir humain, horaires cycliques
Responsabilités budget
De grandes discussions sans intérêt
Toujours sous l’emprise de la loi
J’attends mon chèque de fin de mois
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
6h 30 réveil sonne
Debout tête qui bourdonne
7h 23 train en gare
Engueulade pour s’asseoir
8h 30 pointe et commence
7h 40 sans intermittence
5h sonne, c’est fini
Course aux vestiaires et sortie
Bus du soir,
Train du soir,
Film du soir,
Repos chaque soir,
6h 30 réveil sonne
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
Triste vie, triste ville
Sisyphe mon frère, plaisirs faciles
home sweet home je suis le roi
Porte blindée chacun chez soi
D’un château l’autre pas de palabres
Tombe familiale et plaque de marbre
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
En vrai ça donne un truc dans ce gout là ! :
Carte orange correspondance routeuse
La chair se vend pour des dollars
Chacun sa place chacun sa part
Radio fourre tout télé immonde
Ne pas s’en faire ainsi va le monde
Tic Tac etc

Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
Portillons, escaliers mécaniques
Entonnoir humain, horaires cycliques
Responsabilités budget
De grandes discussions sans intérêt
Toujours sous l’emprise de la loi
J’attends mon chèque de fin de mois
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
6h 30 réveil sonne
Debout tête qui bourdonne
7h 23 train en gare
Engueulade pour s’asseoir
8h 30 pointe et commence
7h 40 sans intermittence
5h sonne, c’est fini
Course aux vestiaires et sortie
Bus du soir,
Train du soir,
Film du soir,
Repos chaque soir,
6h 30 réveil sonne
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Avancer
Se taire
Continuer
Triste vie, triste ville
Sisyphe mon frère, plaisirs faciles
home sweet home je suis le roi
Porte blindée chacun chez soi
D’un château l’autre pas de palabres
Tombe familiale et plaque de marbre
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
Tic Tac etc
En vrai ça donne un truc dans ce gout là ! :
31 juillet 2009
La musique assiégée
Concentration des maison de disques, disparition des disquaires, numérisation des supports, précarisation des musiciens, etc. La musique assiégée retrace l’histoire d’une industrie musicale aujourd’hui en pleine crise. En détaillant les conditions actuelles de production et de diffusion, ce livre montre comment une poignée de multinationales a fait main basse sur le secteur tandis que les « supermarchés culturels » étouffaient les points de vente indépendants.
La Sortie d'un bouquin sur l'industrie musicale et qui a le mérite de poser quelques questions.
L’industrie musicale est-elle inéquitable par définition ? Les musiciens sont-ils condamnés à être manipulés par un système financier qui les dépasse ? En s’appuyant sur les pratiques et les idées du commerce équitable, les auteurs donnent des pistes qui dessinent un avenir plus juste pour la musique.
Ce livre est le fruit d'un travail de deux ans, nourri par les réflexions de musiciens, disquaires, producteurs, journalistes, programmateurs, managers… Leurs nombreux commentaires figurent dans le livre.
Vous trouverez sur ce site des informations pratiques sur le livre, une présentation de notre association Jouer Juste et notre actualité
La Sortie d'un bouquin sur l'industrie musicale et qui a le mérite de poser quelques questions.
L’industrie musicale est-elle inéquitable par définition ? Les musiciens sont-ils condamnés à être manipulés par un système financier qui les dépasse ? En s’appuyant sur les pratiques et les idées du commerce équitable, les auteurs donnent des pistes qui dessinent un avenir plus juste pour la musique.
Ce livre est le fruit d'un travail de deux ans, nourri par les réflexions de musiciens, disquaires, producteurs, journalistes, programmateurs, managers… Leurs nombreux commentaires figurent dans le livre.
Vous trouverez sur ce site des informations pratiques sur le livre, une présentation de notre association Jouer Juste et notre actualité
Une conférence de presse avait lieu pour l’occasion le jour-même de la sortie du book dans les locaux de l’Irma, qui s’impliquait ainsi aux côtés des auteurs pour faire avancer les questions d’intérêt général liées à l’équité dans la musique.
04 juin 2009
IZIA "Let me alone
IZIA "Let me alone" en Live au Nouveau Casino
Pas de doute quand t'as le coup blues, faut se tourner vers Higelin et sa famille. Maintenant la fille reprend le bâton de pèlerin, et bastonne sévère. ça faisait assez longtemps que j'avais pas entendu un son comme celui là. Pourtant entre concert et skeuds, j'en écoutes de la musique. Mais le truc c'est qu'entre ce qu'on veut bien nous faire avaler, j'accroches rarement, et depuis la disparition du rock alternatif, ben je voyais pas trop quoi me mettre sous la dent.
La recette simple et efficace, on reprends les ingrédients du rock 60 - 70, un petite sauce façon rock 90, et vas y go, 1 2 3 !!!. Qui plus est, Izia est belle à croquer, une voie de blueswomen.
Trop bon à se mettre en les oreilles, le CD est prévu pour la semaine prochaine le 8 juin. En attendant, il reste quelques videos éparses et deezer .
Et même si papa était là, en fait rien à foutre, j'adores Jacques, j'écoutes assez peu Arthur, et la grande soeur affective Brigite fontaine n'est jamais loin de la platine.
La recette simple et efficace, on reprends les ingrédients du rock 60 - 70, un petite sauce façon rock 90, et vas y go, 1 2 3 !!!. Qui plus est, Izia est belle à croquer, une voie de blueswomen.
Trop bon à se mettre en les oreilles, le CD est prévu pour la semaine prochaine le 8 juin. En attendant, il reste quelques videos éparses et deezer .
Et même si papa était là, en fait rien à foutre, j'adores Jacques, j'écoutes assez peu Arthur, et la grande soeur affective Brigite fontaine n'est jamais loin de la platine.
15 décembre 2008
Ma fille, je ne sais pas qui est ton pére
TETES RAIDES et JEANNE CHERAL SANS TITRE
Têtes Raides (Les) - Sans Titre
Ma fille
Je n'sais pas qui est ton père
C'est peut-être
Un vaurien commissaire
Ou pianiste
Ma fille
Cette nuit-là
Quand il m'a pris
Dans ses bras
C'est dans tes yeux
Ca se voit
Son regard et sa voix
Tous ces garçons
C'était toi
C'est tes cheveux
Son corps
C'est tes doigts
Ma fille
Cette nuit-là
Je voulus vivre à Java
Pour un ongle de frisson
Pousse une plaie sur l'horizon
C'est dans ta peau à jamais
Insouciante j'allais
Ne me demande pas qui c'est
Sans se parler
On s'est quitté
Ma fille
Je n'sais pas qui est ton père
C'est peut-être
Un vaurien commissaire
Ou pianiste
Ma fille
Cette nuit-là
Quand il m'a pris
Dans ses bras
Mais il est tard ce soir
A la gare St-Lazare
19 mars 2008
Pigalle - Une Nuit
Tu n'as plus sur toi qu'un sous-pull vert
Et tu cherches ta clope qui est sous ton nez
Moi je suis sur le pieu nu comme un ver
A regarder ton sexe se déplacer
La lumière du salon éclaire ta chambre
La flamme du briquet allume tes yeux
Et tu souffles vers le ciel, tu te cambres
Tu es très belle et je me sens très vieux
Ta culotte, petite boule, traine au pied du lit
Pour fumer tu t'assieds sur les draps blancs
Je t'effleure just' le dos et tu souris
Un sourire de chaleur, tranquille et puissant
Tu t'relèves comme un r'ssort pour écraser ta clope
Tu lèves tes bras et ton sous-pull s'envole
Je vois tes seins de neige en kaléidoscope
Et ton nombril tendu demande son obole
J'ai chopé une cheville et je tire un bon coup
Tu t'étales sur moi en un rire de môme
Nous sommes têtes bêches, ta cuisse dans mon cou
J'ai ta fesse, la gauche, dans ma paume
Tu pivotes en silence et si doucement
Nos peaux s'échangent, se frottent, se croisent
J'ai maintenant ta langue qui force mes dents
Je la reçois ému, elle sent la framboise
Mes doigts courent dans ton dos, de ton cou à la raie
Je ne peux m'empêcher d'avoir le premier râle
Tu me regardes, heureuse et fière de ton effet
Je te serre à briser ta colonne vertébrale
Nous ne sommes qu'un être, aux souffles mélangés
T'as frémi d'une épaule et mon sexe a durci
Ta langue suit mon torse et je suis terrassé
Elle descend à mon ventre et je réponds d'un cri
Je te soulève d'un coup et te mets sur le dos
Je dévore tes seins comme un repas de fête
Tu soupires en cadence et c'est le crescendo
Ta main crispée a agrippé ma tête
Tu la pousses impatiente vers ton triangle d'or
Et mes mains sous tes cuisses, j'exauce ton souhait
Dans les humidités, je lèche et je mords
Ton sexe est comme une forge et ma bouche, un soufflet
Tu te redresses alors, m'entourant de tes bras
Et je sens tes cheveux qui frottent dans mon dos
Tu m'appelles doucement et tu me tires vers toi
Je te bouscule un peu et t'embrasse au kilo
Tu me pousses en douceur, je murmure "tu es belle"
Tu es au d'ssus de moi, tendue sur tes deux bras
Tu brilles dans l'ombre pâle et tu sens la canelle
Tes yeux me dévisagent et glissent vers le bas
Ils fixent mon piquet qui palpite impatient
Reptile, tu es dessus et ta bouche l'entoure
Mes mains agrippent tes cheveux en criant
Tes lèvres, entre deux tours, me disent des mots d'amour
Je ne veux pas tout d'suite et je te tire vers moi
Nos langues se rejoignent et nos mains sont fébriles
Tu t'accroches, naufragée, à ma paire de noix
Mon pouce joue, habile, de ton bouton fragile
Mon index en orbite autour de ton caractère
Tu t'accroupis sur moi, en gémissements sourds
Tu as chopé mon sexe qui demande la guerre
Et c'est toi qui l'enfiles et qui te fais l'amour
Je pilonne ton bassin comme un taureau furieux
Tu resserres tes jambes, rien ne te désarçonne
Et brusquement tout sort, tel un volcan en feu
Tu hurles ta victoire, moi aussi, je ronronne
Et nous restons tendus dans un film arrêté
Puis tout doucement nous glissons l'autre vers l'un
Nos cœurs sont en rythme et nos mains accrochées
La mort pourrait venir ça ne serait rien
On se frotte la joue comme deux petits chatons
J'ai tes jambes dans les miennes bien au chaud
Je te demande, inquiet, si t'as trouvé ça bon
Tu souris sans répondre et je me sens idiot
Une bise sur le nez est le signe de la fin
Tu t'étires magnifique, te remets contre moi
Je cale une de mes mains sur l'un de tes seins
Il faut dormir maintenant, le matin est d'jà là...
Moi je suis sur le pieu nu comme un ver
A regarder ton sexe se déplacer
La lumière du salon éclaire ta chambre
La flamme du briquet allume tes yeux
Et tu souffles vers le ciel, tu te cambres
Tu es très belle et je me sens très vieux
Ta culotte, petite boule, traine au pied du lit
Pour fumer tu t'assieds sur les draps blancs
Je t'effleure just' le dos et tu souris
Un sourire de chaleur, tranquille et puissant
Tu t'relèves comme un r'ssort pour écraser ta clope
Tu lèves tes bras et ton sous-pull s'envole
Je vois tes seins de neige en kaléidoscope
Et ton nombril tendu demande son obole
J'ai chopé une cheville et je tire un bon coup
Tu t'étales sur moi en un rire de môme
Nous sommes têtes bêches, ta cuisse dans mon cou
J'ai ta fesse, la gauche, dans ma paume
Tu pivotes en silence et si doucement
Nos peaux s'échangent, se frottent, se croisent
J'ai maintenant ta langue qui force mes dents
Je la reçois ému, elle sent la framboise
Mes doigts courent dans ton dos, de ton cou à la raie
Je ne peux m'empêcher d'avoir le premier râle
Tu me regardes, heureuse et fière de ton effet
Je te serre à briser ta colonne vertébrale
Nous ne sommes qu'un être, aux souffles mélangés
T'as frémi d'une épaule et mon sexe a durci
Ta langue suit mon torse et je suis terrassé
Elle descend à mon ventre et je réponds d'un cri
Je te soulève d'un coup et te mets sur le dos
Je dévore tes seins comme un repas de fête
Tu soupires en cadence et c'est le crescendo
Ta main crispée a agrippé ma tête
Tu la pousses impatiente vers ton triangle d'or
Et mes mains sous tes cuisses, j'exauce ton souhait
Dans les humidités, je lèche et je mords
Ton sexe est comme une forge et ma bouche, un soufflet
Tu te redresses alors, m'entourant de tes bras
Et je sens tes cheveux qui frottent dans mon dos
Tu m'appelles doucement et tu me tires vers toi
Je te bouscule un peu et t'embrasse au kilo
Tu me pousses en douceur, je murmure "tu es belle"
Tu es au d'ssus de moi, tendue sur tes deux bras
Tu brilles dans l'ombre pâle et tu sens la canelle
Tes yeux me dévisagent et glissent vers le bas

Ils fixent mon piquet qui palpite impatient
Reptile, tu es dessus et ta bouche l'entoure
Mes mains agrippent tes cheveux en criant
Tes lèvres, entre deux tours, me disent des mots d'amour
Je ne veux pas tout d'suite et je te tire vers moi
Nos langues se rejoignent et nos mains sont fébriles
Tu t'accroches, naufragée, à ma paire de noix
Mon pouce joue, habile, de ton bouton fragile
Mon index en orbite autour de ton caractère
Tu t'accroupis sur moi, en gémissements sourds
Tu as chopé mon sexe qui demande la guerre
Et c'est toi qui l'enfiles et qui te fais l'amour
Je pilonne ton bassin comme un taureau furieux
Tu resserres tes jambes, rien ne te désarçonne
Et brusquement tout sort, tel un volcan en feu
Tu hurles ta victoire, moi aussi, je ronronne
Et nous restons tendus dans un film arrêté
Puis tout doucement nous glissons l'autre vers l'un
Nos cœurs sont en rythme et nos mains accrochées
La mort pourrait venir ça ne serait rien
On se frotte la joue comme deux petits chatons
J'ai tes jambes dans les miennes bien au chaud
Je te demande, inquiet, si t'as trouvé ça bon
Tu souris sans répondre et je me sens idiot
Une bise sur le nez est le signe de la fin
Tu t'étires magnifique, te remets contre moi
Je cale une de mes mains sur l'un de tes seins
Il faut dormir maintenant, le matin est d'jà là...
16 mars 2008
La Compil' Pirate Vol.1
De quoi s'agit-il ? De chansons toutes publiées sous licences libres, que nous avons réunies pour vous faire découvrir quelques-uns de ces groupes, de ces communautés, pour qui la musique n'est pas un produit de consommation mais un patrimoine à partager librement comme ces licences alternatives le permettent.
Nous continuerons à lutter de toutes nos forces pour que la musique ne soit pas le dernier joujou de quelques décideurs et pour que les artistes ne soient pas jetables-après-consommation.
Nous continuerons à lutter de toutes nos forces pour que la musique ne soit pas le dernier joujou de quelques décideurs et pour que les artistes ne soient pas jetables-après-consommation.
.,-~~"~~-,.
.,-~"~-,.[ Le Parti Pirate ] .,-~"~-,.
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14 mars 2008
COMPILATION GRATUITE ET LIBRE DE DROITS
C'est à Auschwitz, le 10 juin 1944, que le petit Salvador Dalida, 97 ans, posa la question à sa grand-mère : "Dis, mémé, le PPPzine, c'est quoi, au justine ?"
Après une violente paire de baffes et un coup de pied dans les roubignolles, la mémé lui répondit en riant et en faisant de grands gestes avec son couteau de boucher :
- Le PPPzine, c'est une fanzine gratuit en papier virtuel à imprimer chez soi parce que des sites web, tout le monde en fait, et qu'on ne peut pas les lire en riant aux toilettes,
- Le PPPzine, c'est consacré aux groupes, musiciens et artistes présents sur myspace, cet ignoble organe capitaliste, mais aussi hors de myspace,
- Le PPPzine, c'est du sampling de l'Internet crétin,
- Le PPPzine, c'est de la musique punk, post-punk, et autres phénomènes insignifiants (new-wave, cold-wave, gothique, metal, grunge, hardcore, noise, techno, electro, indus, et même, oui, pop),
- Le PPPzine, c'est un grand ras-le-bol des médias léchés, d'une écriture professionnelle, d'une réflexion commerciale,
- Le PPPzine ne réfléchit pas, il agit, il n'y a de relecture que le strict minimum, il laisse les gens s'exprimer sans rien retoucher (sauf l'orthographe),
- Le PPPzine ne prétend rien, sinon faire partager de temps à autre ce qu'il aime et ce qui le fait marrer ou crier.
Après une violente paire de baffes et un coup de pied dans les roubignolles, la mémé lui répondit en riant et en faisant de grands gestes avec son couteau de boucher :
- Le PPPzine, c'est une fanzine gratuit en papier virtuel à imprimer chez soi parce que des sites web, tout le monde en fait, et qu'on ne peut pas les lire en riant aux toilettes,
- Le PPPzine, c'est consacré aux groupes, musiciens et artistes présents sur myspace, cet ignoble organe capitaliste, mais aussi hors de myspace,
- Le PPPzine, c'est du sampling de l'Internet crétin,
- Le PPPzine, c'est de la musique punk, post-punk, et autres phénomènes insignifiants (new-wave, cold-wave, gothique, metal, grunge, hardcore, noise, techno, electro, indus, et même, oui, pop),
- Le PPPzine, c'est un grand ras-le-bol des médias léchés, d'une écriture professionnelle, d'une réflexion commerciale,
- Le PPPzine ne réfléchit pas, il agit, il n'y a de relecture que le strict minimum, il laisse les gens s'exprimer sans rien retoucher (sauf l'orthographe),
- Le PPPzine ne prétend rien, sinon faire partager de temps à autre ce qu'il aime et ce qui le fait marrer ou crier.
.,-~~"~~-,.
.,-~"~-,.[ Punk Post Punk 2008 ] .,-~"~-,.
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18 septembre 2007
22 mai 2007
16 mai 2007
07 mai 2007
Lyovez 07/05/07
à lire sur : http://www.lyovez.com/marchededans/marchededans.html
Putain, c’est quoi c’t’odeur…
Qu’est-ce que ça peut bien être ?
Avec un haut le cœur,
Je vais fermer la f’nêtre.
Mais d’où vient ce relent,
Qui glisse et qui s’immisce,
Ce remugle qui prend,
Par tous les interstices.
Y aurait-il quelque part,
Un cadavre oublié,
Pourrissant dans le parc,
Ou au fond du grenier ?
Un accident chimique
Serait-il survenu ?
Une fosse sceptique
Serait-elle en crue ?
Mais putain, c’est quoi c’t’odeur !...
De poisson ventre à l'air
Ces étranges senteurs
Charriées par l'amer
Putain, c’est quoi c’t’odeur…
Cette puanteur rogue
Ces effluves de peur
De pillards en maraude
Ces nausées persistantes
M’enveloppent et me suivent
Sournoisement me hantent
Et avec moi dérivent
Je frotte mes chaussures
Inspecte mes semelles
Mais le relent perdure
Et renaît de plus belle…
Sur le calendrier posé dans le salon, il est inscrit 7 mai, lendemain d’élection…
On a marché dedans !
Elles sont bourrées nos urnes
A voter comme des burnes,
Aux armes, allons enfants !
On a marché dedans !
Maintenant on patauge,
Servi à la même auge
Tout un pays de glands
On a marché dedans !
Et d’ici qu’on la perde
La saveur de la merde
Il faudra bien cinq ans
On s’y est mis tout seul
Petit peuple soumis
Qui s’fait marcher sur la gueule
Et puis qui dit « Merci ! »
Tu peux dans ton errance
Bien frotter tes semelles
Cette odeur c’estla France
Qui s’est fait sur elle…
Putain, c’est quoi c’t’odeur…
Qu’est-ce que ça peut bien être ?
Avec un haut le cœur,
Je vais fermer la f’nêtre.
Mais d’où vient ce relent,
Qui glisse et qui s’immisce,
Ce remugle qui prend,
Par tous les interstices.
Y aurait-il quelque part,
Un cadavre oublié,
Pourrissant dans le parc,
Ou au fond du grenier ?
Un accident chimique
Serait-il survenu ?
Une fosse sceptique
Serait-elle en crue ?
Mais putain, c’est quoi c’t’odeur !...
De poisson ventre à l'air
Ces étranges senteurs
Charriées par l'amer
Putain, c’est quoi c’t’odeur…
Cette puanteur rogue
Ces effluves de peur
De pillards en maraude
Ces nausées persistantes
M’enveloppent et me suivent
Sournoisement me hantent
Et avec moi dérivent
Je frotte mes chaussures
Inspecte mes semelles
Mais le relent perdure
Et renaît de plus belle…
Sur le calendrier posé dans le salon, il est inscrit 7 mai, lendemain d’élection…
On a marché dedans !
Elles sont bourrées nos urnes
A voter comme des burnes,
Aux armes, allons enfants !
On a marché dedans !
Maintenant on patauge,
Servi à la même auge
Tout un pays de glands
On a marché dedans !
Et d’ici qu’on la perde
La saveur de la merde
Il faudra bien cinq ans
On s’y est mis tout seul
Petit peuple soumis
Qui s’fait marcher sur la gueule
Et puis qui dit « Merci ! »
Tu peux dans ton errance
Bien frotter tes semelles
Cette odeur c’est
Qui s’est fait sur elle…
01 février 2007
Jacques Higelin - CIGARETTE
Découvrez Jacques Higelin!
Hé hé, ho ho
Je suis amoureux d'une cigarette
Toute la sainte journée elle me colle au bec
Hey Lucie, si te reste un peu de ferraille
Ravitaille moi d'un paquet de gris
Que je m'en grille une aussitôt
A la place de ce satané vieux mégot, ho ho
Je suis amoureux d'une cigarette

Sans elle j'ai l'air d'un poussin
Cherchant son omelette
Hey Suzon, si te reste un peu de pognon
Ramène-moi donc un paquet de blond
Que je m'en roule une aussi sec
A la place de ce satané vieux mégot, ho ho.
Je l'aime bien épaisse
Roulée comme une papesse
Dans son fourreau Zigzag a bord chromé
Quand du bout de la langue
Je la lèche, elle tangue
Fumante elle frémit sous la morsure
De mon dentier Hé hé.
Je suis amoureux d'une cigarette
Elle a la rondeur d'un sein
Qu'on mord ou qu'on tête
Hey Jenny, y'aura une taffe pour toi
Si tu penses a mon paquet de gris
Magne-toi car j'ai bientôt fini
De tirer sur ce satané vieux mégot.
Je suis amoureux d'une cigarette
Suzy, hey, hey
Je suis amoureux d'une cigarette...
Je suis amoureux d'une cigarette...
...Moureux d'une cigarette...
27 janvier 2007
08 janvier 2007
Nina HAGEN - NATURTRÄNE
Il y a des chansons qu'on écoute une fois, et qu'on ne peut oublier. L'envolée lyrique (ici un peu cassé par la voix qui déraille) et le sanglot mélancolique et nostalgique de la guitare qui joue sur les notes longues et saturée. Le mélange de l'Opéra et de la musique rock, voilà ce qui fait de cette dame la reine du Punk'Rock. Jamais vu en concert depuis 17 ans que j'ecoutes Nina, il serait temps de faire le pas.
NaturTräne (Nina Hagen)
Offnes Fenster präsentiert
Spatzenwolken himmelflattern
Wind bläst, meine Nase friert
Und paar Auspuffrohre knattern
Ach, da geht die Sonne unter:
Rot, mit Gold, so muss das sein.
Seh ich auf die strasse runter,
Fällt mir ein Bekannter ein
Prompt wird mir's jetzt schwer ums Herz
Ich brauch' nur Vögel flattern sehen
Und fliegt main Blick dann himmelwärts,
Tut auch die Seele weh, wie schön!
Natur am Abend, stille Stadt
Verknackste Seele, Tränen rennen
Das alles macht einen mächtig matt
Und ich tu' einfach weiterflennen..
Aaaahhhh....
traduction:
LES LARMES DE LA NATURE
A travers la fenêtre ouverte je vois
Des petits nuages qui flottent dans le ciel.
Le vent souffle, mon nez gèle.
Deux tuyaux d'échappement pétaradent.
Ah, le soleil se couche !
Rouge or, ça doit être ainsi.
Je regarde en bas dans la rue
Je tombe sur une connaissance.
Soudain mon cœur devient lourd.
J'ai juste besoin de voir des oiseaux voler.
Et mon regard part alors en direction du ciel,
Ça apaise mon âme, comme c'est bon !
La nature, le soir ; la ville est tranquille.
L'âme tourmentée, des larmes coulent à flot.
Tout m'épuise !
Et je continue à pleurnicher…
01 janvier 2007
09 décembre 2006
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