13 août 2005

Minuit zéro trois

Mesdames et messieurs on peut raconter une histoire avec des mots sans sens. On peut le faire, suffit d?un peu de chance. Mais croyez vous que l?on puisse vivre sans véritable ami, sans bâton lors de votre quête, votre marche. Lors du passage par le labyrinthe n?avez vous pas espérer trouver en chemin un confident, un vrai qui ne soit pas lâche au point de médire de vous., n?avez vous pas penser qu?à deux le chemin est moins rude, n?avez pas compris que l?individualisme est un maux de ce siècle naissant, qui ne fera que gangrené votre âme. Prenant petit à petit les membres, elle gagnera bientôt la tête et son système cérébrale. Je ne m?attends guère à une rémission de cette gangrène, à moins qu?un être puisse vous montrez la voie. La voie pour sortir de ce gouffre.
Faîte un grand pas en avant !
Laisser vous vous libérer de votre corps, de votre physique, votre âme, laissez vous planer à mille lieus au dessus du sol. Laisser votre père, votre mère, vos amis, et penser qu?un nouveau rayon de soleil peut créer un nouvel être. N?essayez pas de penser à la folie qui gagne, qui monte, il faut. Il le faut.
Devenir nous même.
J?ai déjà une partit de ce chemin, mais pas assez loin, et j?ai succombé, je laisse quelques cartes pour les suivants. Ne tenter pas d?y aller si vous avez des attaches, femme, enfants, on ne peut partir avec de telles attaches. Dans la vie, il faut faire des choix au moment du départ. Rien ne me retient. Ce n?est pas les attaches qui manquent, ni les amarres. Mais je sais m?en passer à présent. Mon cas est peut être psychotique. Je le crois, le pense. Mais personnes ici ne fera croire que je suis l?unique.
Aurais tu remarquer brave lecteur, combien les phrases parfois n?ont de sens, je ne corrige pas l?épreuve, tout ce qui passe, est écrit. Et ma tête prête à exploser tant les mots, les associations d?idée jaillissent. Je pourrait parler longtemps d?un requin noir et d?un poule au milles diamants. Certes mais cela apporterait il vraiment quelques choses à l?histoire, mon histoire, celle d?un gosse perdu il y a longtemps dans un monde hostiles à toutes fantaisies. Je recherches mes propres frères de la côte, partit il y a longtemps pour la mer.
Galions, navire corsaire, et chants de marins qui balayent d ?un seul élan un drapeau noir couleur de tête de mort. Viril peut être, mais il y a peut être quelques femmes sur le socle de nos ancêtres. Il doit bien y avoir quelques femmes, toutes ne sont pas après tout des catins et filles sans remords. Certaines d?entre elles pensent. J?oses y croire encore.
Mais quelque elles soient, je les maudis, que l?enfantement fasse passer les mauvais goûts en terme de vengeance. Leurs égouts est mon profond que mon dégoût pour ces chairs à baiser. Vous penser peut être en ce moment à une certaine misogynie, certes je le conçois, mais Elles le sont bien plus entre elles que le plus salauds des hommes. Elles se délectent de ce qu?elles peuvent faire subir à une de leurs congénère.
Je préfères mille fois me refermer sur moi même pour ne plus subir leurs sarcasmes. J?ai laisser depuis peu de côté l?Amour, il n?a pas d?avenir, et JAMAIS il ne pourra engendrer autre chose que souffrance et douleur. Bien que certains privilégiés y trouveront une voie. Bonne chance à eux, et pleins de bonheur, mais profitez en, avant que cela ne se retourne contre vous. Soyez chanceux, abusez en !


Les cigarettes finissent toutes au fond du cendrier
Verdure
Part Sex

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