20 août 2005

Mansardes Ouvertes, mais opaques
Les yeux dehors emmitouflés
d'un
dernier au revoir
Elle quitte déjà sa mason
Ella a donné vie
Sans
Marie
Cent Maris.

J'aimais sa colonne Vertébrale, droite
et
courbée sur les hanches
Des épines espacés de creux
Une longue riviéres
parcemées de bosses
Un cheminement pour le pensée, Une rose
et sa tige
prête à s'élancer

Un instrument de musique, pour les doigts
d'un
guitariste, une régle à tenir.

Et lorsqu'elle fermait ses jambes,
un
univers entier disparaissait dans sa toison
pour mieux renaître,
quelques instants aprés.

Elle a vendue son âtre, son âme,
son
astre est perdu

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