03 juillet 2005

Don't even think of parking here

La nuit est tombée, noire, sur le village. Le calme aussi. L'aboiement des chiens couvrent à peine le rythme frénétique et inutile d'une canette métallique emporté par le vent. La façade des maisons transpire d'une lumiére blanchâtre. Mon ombre transpire sous la veste.
Je suis trop saoul, c'est la rentrée d'un concert, le son dans la rue est grésillant.
L'accouphéne, c'est encore du Punk Rock.
Je titubes le long des grillages. Quelques voitures passent et emportent avec elle, une lumiére jaune. Je ne sais pas quand je rentrerais. Mais demain sera pire


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