20 décembre 2008

La première fois quand je l'ai vue

La première fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais complètement hagard

Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : il faut que je l'aborde
Pour voir si tous les deux on s'accorde

J'ai déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis dev'nu un peu comme fou

Quand je t'ai dit que tu me plaisais
Que j'aimerais bien te revoir
Tu m'as donné rendez-vous le soir

Et je t'ai dit Oh Penelope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma vie

Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête

Et sous les regards de la foule
J'ai posé ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas malsain

A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit : je veux que tu me suives
Je te sentais d'humeur lascive

Alors comme ça dans les tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de tendresse

Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'à me faire prêtre
Je ne pourrais jamais m'en remettre

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi



Maintenant changez la fin du second vers de chaque strophe pour qu'il rime
avec le premier vers plutôt qu'avec le troisième. (vous allez voir, les mots viennent très vite..)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ouais je connais, Forcément elle répondit


Je suis très émue de te dire que j'ai
bien compris l'autre soir que tu avais
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de ton
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par toi. Je suis prête à te montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si tu voulais me voir aussi
te dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, viens me faire une visite.
Nous causerons en "amis", franchement.
Je te prouverai que je suis la femme
sincère, capable de t' offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
amitié, en un mot la meilleure preuve
que tu puisses rêver, puisque ta
foi est libre. Penses que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accoures donc vite et viens me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre.