22 juillet 2007

Une folle tranche de sueur nappée de nicotine

Des tranches de rêves jetées aux chiens, Des rouleaux de papiers toilettes entourant les anges, il ne reste plus rien. Les rétines du soleil dans le firmament Côtoient les blessures. Le volcan incessant incandescent de la vie, semble ne Jamais s'arrêter. Toujours endormi, toujours en irruption, rien ne peut arrêter le rythme de la vie . J'adhère Complètement à la délicate _ folle- mélodie .... Poésie Mature ... Immense foule .... Flamme vitale et toxique au cœur de l'affiche Continue
dans un Protocole étrange manichéen et dérangé.
  • Tranche moi la main, avant que je décrive une tranche de vie !
  • Prends encore une dose de nicotine, de sueur ! -

La poudre, la sueur et le goudron drainent les forces qui coulent dans les artères altières de cette ville. Ce n'est plus un gémissement, écoute ! C'est devenu un cri de rage, de désespoir, d'espoir. Un cri vengeur, extatique, qui encourage et pousse à l'acte irraisonné de VIVRE, malgré la soumission forcée, la culture policière, les expulsions qui font disparaître d'un coup d'un seul un voisin, un ami, et qui font penser à des heures sombres d'une histoire bien trop proche.
Il ne suffit pas d'éprouver cette sueur, froide, il faut la sentir parcourir le derme , mutiler la conscience.
  • Mutilation du silence

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