21 mars 1994

Le désert

Juste un homme, entre le sable jaune et les nuages noirs d'un orage en préparation, qui s'avance en rampant dans le sable mou et visqueux.
A travers le sable désespérant, se dressent peu à peu une ville en ruine aux tourds cassé, aux jardins débrayés, des arbres morts qui étendent leurs branches tels des racines vers les rayons.
Ils fleurissent, bourgeonnent et laissent en d"brsis le sol lunaire de cette ville, mer de ruines aux flots glacés.
L'homme s'acança dans ces débris de la préhistoire d'un futur illusion, et s'écroule sur le pas d'une porte ouverte et d'ouvrant sur le vide, d'un gouffre aux rochers auguisés.

C'était le dernier survivant d'une espéces en voie de dégénérescence aigüe.
Des yeux le virent.

Aucun commentaire: