Le bourbier fasciste envahit peu à peu, et à nouveau, le purin de la pensée. La fascination du fascisme fait des adeptes dans toutes les classes, comme si oubliés, les yeux noirs des camps s'éteignaient.
Cette liqueur âcre enflamme les livres, les journaux, les drapeaux, où l'araignée fourbe et fourchue baigne dans du sang.
Bon courage aux survivants !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire