Par dessus les pommiers, bien au delà des nuages,
Toujours au dessus de l'univers, qui n'a pas d'horizon,
L'âme d'artiste s'envole, pour survoler le monde,
Qui convient guére à nos ailes de grandes envergures
Jamais le sol ne touche nos pied, dans nos envolées
En Atlante, et les autres galaxies, nos rêves sont là.
Si jamais, les balles des fusils nous touchent
C'est encore une fois pour nous libérer.
Bien au delà des pommiers en fleurs, des cités industrielles,
Des zones urbaines, des zones pavillonaires,
Nos rêves survolent et y mettent le feu.
Lorsque les villes combleront les campagnes,
Comme on comble un grenier, Les hommes de la lune,
Pourront Encore se retrouver dans les égouts...
.. pour rêver...
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