Sur les Français vaincus un saint-office pèse.
Un brigand les égorge, et dit : je les apaise.
Paris lave à genoux le sang qui l'inonda ;
La France garrottée assiste à l'hécatombe.
Par les pleurs, par les cris, réveillés dans la tombe,
- Bien ! dit Laubardemont ; - Va ! dit Torquemada.
[....]
Avenir ! avenir ! voici que tout s'écroule !
Les pâles rois ont fui, la mer vient, le flot roule,
Peuples ! le clairon sonne aux quatre coins du ciel ;
Quelle fuite effrayante et sombre ! les armées
S'en vont dans la tempête en cendres enflammées,
L'épouvante se lève ; - Allons, dit l'éternel !
http://membres.lycos.fr/jccau/ressourc/hugo/index.htm
30 mars 2006
29 mars 2006
28 mars 2006
la rue
Ou ce trouve la démocratie, lorsque les gouvernants sont atteint d'autisme, de mutisme ?
Qu'est ce que la rue, sinon le peuple ?
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément ?
Qu'est ce que la rue, sinon le peuple ?
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément ?
25 mars 2006
23 mars 2006
Cinquiéme Symptomes
S'il vous plait madame,
Vos fleurs sont fanées.
Ne pas demander son âge !
S'il vous plaît !
Vos fleurs sont fanées.
Ne pas demander son âge !
S'il vous plaît !
20 mars 2006
Quatriéme symptomes
Au pays du double jeu, Les dés sont pipés. Et si quelqu'un s'attablent pour jouer au jeu, dans sa manche se cache un as de pique. Bienvenue au théatre du cynisme, les acteurs rentrent en scéne.
Orane
Orane
19 mars 2006
18 mars 2006
Deuxiéme Symptomes
Je suis plus à gauche
que peut être l'extréme
droite. Mais saurais tu le
comprendre ? Si la religion est l'opium du peuple
le communisme en est son héroïne !
Mais saurais tu le comprendre ?
Verdure06
que peut être l'extréme
droite. Mais saurais tu le
comprendre ? Si la religion est l'opium du peuple
le communisme en est son héroïne !
Mais saurais tu le comprendre ?
Verdure06
Premier symptome
On raconte que dans les temps antiques, un roi affichait les loies en place publique, mais à une telle hauteur, que personne ne pouvait les lire.
"Nul n'est sensé ignoré la loi". Plus de 3000 textes par an sont publiés au journal officiel. Une telle abondance de textes dans un jargon inextricable rend caduque la premiére sentence. Tel est ce qu'on raconte dans les temps moderne.
V06
"Nul n'est sensé ignoré la loi". Plus de 3000 textes par an sont publiés au journal officiel. Une telle abondance de textes dans un jargon inextricable rend caduque la premiére sentence. Tel est ce qu'on raconte dans les temps moderne.
V06
17 mars 2006
Lichen en pluviôse
"L'Elysée est en flammes, actuellement des flammes montent à l'intérieur de la bourse. Attention... "
Seigneur, je prie, pour que
les enfants flambent
à l'intérieur, à l'intérieur,
Il y aura des charniers
à photographier
Mais ne crois pas, ne crois pas,
que le jour se lévera,
de sitôt. Les enfants flambent
A l'intérieur de leur coma politique.
Seigneur, je pris
les chiens sont lâchés
armés de fusils
Ils dorment jusqu'à la nuit
Jusqu'au bout de la nuit.
Et si - SI , Et SI, l'aube se réveille
sur un pari risqué
un pari martyrisé
Paris pourrait bien être libéré
dans une immense fosse
Sceptique, Je serais un homme libre pour toi
ça voudra dire que je suis mourrant,
Les enfants flambent encore
Leurs charniers seront à photographier
Les chiens sont libérés
Les chiens sont libérés
A la niche !
La folie gagne la rue et mes neurones
Toutes les dames sont en échec
Ce n'est plus qu'une vie à ajourner
ça voudra dire que Paris est libéré
Les chiens sont libérés
Dans un charnier
Tous enterrés
Journal Télévisé
Et je serais un homme libre, Bébé,
ça voudra dire que je suis mourrant.
Seigneur, je prie, pour que
les enfants flambent
à l'intérieur, à l'intérieur,
Il y aura des charniers
à photographier
Mais ne crois pas, ne crois pas,
que le jour se lévera,
de sitôt. Les enfants flambent
A l'intérieur de leur coma politique.
Seigneur, je pris
les chiens sont lâchés
armés de fusils
Ils dorment jusqu'à la nuit
Jusqu'au bout de la nuit.
Et si - SI , Et SI, l'aube se réveille
sur un pari risqué
un pari martyrisé
Paris pourrait bien être libéré
dans une immense fosse
Sceptique, Je serais un homme libre pour toi
ça voudra dire que je suis mourrant,
Les enfants flambent encore
Leurs charniers seront à photographier
Les chiens sont libérés
Les chiens sont libérés
A la niche !
La folie gagne la rue et mes neurones
Toutes les dames sont en échec
Ce n'est plus qu'une vie à ajourner
ça voudra dire que Paris est libéré
Les chiens sont libérés
Dans un charnier
Tous enterrés
Journal Télévisé
Et je serais un homme libre, Bébé,
ça voudra dire que je suis mourrant.
16 mars 2006
Un putchin' ball pour mon pitbull
Elle a du bleu sous les yeux
et crois moi, si elle pleure
Il va pas s'barrer. Il restera !
Elle a du bleu sous les yeux,
C'est pas du rimmel, s'il pleut,
Il va pas s'barrer. Il restera !
C'est son enfoiré d'mec, qui lui poche les yeux
C'est son enfoiré d'mac, qui lui fait des bleus
Elle a du bleu sous les yeux,
Et crois moi, si elle pleure
ça restera, même si sa vie change.
Elle a du bleu sous les yeux,
Demain encore, elle l'aura,
ça restera encore ... longtemps.... longtemps....
longtemps.... longtemps....
Et crois pas, qu'ça changera
si facilement. Si elle pleure
ça restera encore ... longtemps.... longtemps....
longtemps.... longtemps....
C'est son enfoiré d'mec, qui lui poche les yeux
C'est son enfoiré d'mac, qui lui fait des bleus
et crois moi, si elle pleure
Il va pas s'barrer. Il restera !
Elle a du bleu sous les yeux,
C'est pas du rimmel, s'il pleut,
Il va pas s'barrer. Il restera !
C'est son enfoiré d'mec, qui lui poche les yeux
C'est son enfoiré d'mac, qui lui fait des bleus
Elle a du bleu sous les yeux,
Et crois moi, si elle pleure
ça restera, même si sa vie change.
Elle a du bleu sous les yeux,
Demain encore, elle l'aura,
ça restera encore ... longtemps.... longtemps....
longtemps.... longtemps....
Et crois pas, qu'ça changera
si facilement. Si elle pleure
ça restera encore ... longtemps.... longtemps....
longtemps.... longtemps....
C'est son enfoiré d'mec, qui lui poche les yeux
C'est son enfoiré d'mac, qui lui fait des bleus
15 mars 2006
Bien au delà des pommiers en fleurs
Par dessus les pommiers, bien au delà des nuages,
Toujours au dessus de l'univers, qui n'a pas d'horizon,
L'âme d'artiste s'envole, pour survoler le monde,
Qui convient guére à nos ailes de grandes envergures
Jamais le sol ne touche nos pied, dans nos envolées
En Atlante, et les autres galaxies, nos rêves sont là.
Si jamais, les balles des fusils nous touchent
C'est encore une fois pour nous libérer.
Bien au delà des pommiers en fleurs, des cités industrielles,
Des zones urbaines, des zones pavillonaires,
Nos rêves survolent et y mettent le feu.
Lorsque les villes combleront les campagnes,
Comme on comble un grenier, Les hommes de la lune,
Pourront Encore se retrouver dans les égouts...
.. pour rêver...
Toujours au dessus de l'univers, qui n'a pas d'horizon,
L'âme d'artiste s'envole, pour survoler le monde,
Qui convient guére à nos ailes de grandes envergures
Jamais le sol ne touche nos pied, dans nos envolées
En Atlante, et les autres galaxies, nos rêves sont là.
Si jamais, les balles des fusils nous touchent
C'est encore une fois pour nous libérer.
Bien au delà des pommiers en fleurs, des cités industrielles,
Des zones urbaines, des zones pavillonaires,
Nos rêves survolent et y mettent le feu.
Lorsque les villes combleront les campagnes,
Comme on comble un grenier, Les hommes de la lune,
Pourront Encore se retrouver dans les égouts...
.. pour rêver...
14 mars 2006
Louis savary
c?est en publiant
qu?un auteur
court le risque
de ne pas être lu
et en gardant ses manuscrits
dans son tiroirs
qu?il en aura la certitude.
Louis Savary
tant qu'il y aura
des hommes sur la terre
elle aura toutes les raisons
de se méfier
qu?un auteur
court le risque
de ne pas être lu
et en gardant ses manuscrits
dans son tiroirs
qu?il en aura la certitude.
Louis Savary
tant qu'il y aura
des hommes sur la terre
elle aura toutes les raisons
de se méfier
13 mars 2006
"Confusions des genres"
Danser sur des volcans,
jusqu'à la fin des amants
Des amitiés encore chaudes
Et des penditifs pour seuls habits
sont les coffres forts des coeurs
On y retrouve pêle mêle
la vie passée, les reliques de l'amitié
Tandis que l'amour s'épaissit
On peut encore - SOLITUDE -
Danser sur les glaciers
Verdure 06
12 mars 2006
K.L.
- "L'encre noire a dégouliné sur les murs
De bois des baraques, sur les barbelés.
Elle s'est infiltrée dans les miradors,
Afin d'éteindre la lumière.
Couvre-feu.
Oh ! Blonde lune
Oblongue,
La lune, petite tache
Découpe l'encre
En forme d'étoile".
De bois des baraques, sur les barbelés.
Elle s'est infiltrée dans les miradors,
Afin d'éteindre la lumière.
Couvre-feu.
Oh ! Blonde lune
Oblongue,
La lune, petite tache
Découpe l'encre
En forme d'étoile".
11 mars 2006
La page Blanche
Alors, il s'allongea dans le néant, prit un crayon et commença à écrire :
- "celle, que j'aimai, est morte. Mon amour est mort, un beau jour d'hivers, où le soleil glacé se réverbérait sur la neige chaude et pure. Elle est morte de peur, le jour de sa naissance".
- "celle, que j'aimai, est morte. Mon amour est mort, un beau jour d'hivers, où le soleil glacé se réverbérait sur la neige chaude et pure. Elle est morte de peur, le jour de sa naissance".
09 mars 2006
message de yannick
Fou de tes bouclettes,
Ravagé par ton charme,
Anxieux de te perdre,
Ne pouvant vivre sans toi,
Cherche au fond de ton coeur,
K'attends tu pour me rejoindre ?
Habité par des désirs solitaires,
Ensemble nous devrions être,
Réuni pour la vie,
Marié pour l'éternité,
Eclaire mon coeur,
Livre toi à moi,
Ignore le regard des autres,
N'attend pas plus longtemps,
Et reponds à l'appel de mon coeur!
Franck, Je t'aime.
Ravagé par ton charme,
Anxieux de te perdre,
Ne pouvant vivre sans toi,
Cherche au fond de ton coeur,
K'attends tu pour me rejoindre ?
Habité par des désirs solitaires,
Ensemble nous devrions être,
Réuni pour la vie,
Marié pour l'éternité,
Eclaire mon coeur,
Livre toi à moi,
Ignore le regard des autres,
N'attend pas plus longtemps,
Et reponds à l'appel de mon coeur!
Franck, Je t'aime.
06 mars 2006
Pensée dispersée
Croupi
Eau
Cheval cadencé
De la Résurrection
Un souffle naquit
dans l'ouragan d'un silence.
Les mots déterrés
ont souffert
d'apoplexie
Un acte prémédité
du Destin
La rage,
Le chien embué
Cavale dans les rues
sans nom
d'une villa
attristée.
La chienne est vie
et la liqueur pourrit
Les chiens errants dans les rues du désert
Un homme s'assoit à côté et voit
un éclat de songe s'approche.
Lions assoiffés de sang.
L'acte est finit,
Passons à la prochaine scène!
Je suis l'enfant du désordre,
du divorce vacant,
Mort dans les tombes ouvertes.
Le vin nouveau
sera d'un dieu
vigneron,
apiculteur à ses heures.
La boisson de feu
s'avala d'un trait
et mit le feu
à l'?sophage
La porte se ferma
et attendit qu'un
survivant s'épanche
sur le zinc.
Découvreur d'un Autre Monde
José ne connu pas
La terre du Roi d?Éthiopie,
le Lion dévore
Babylone naquit en ce jour
du 4 Février
Et sa mort ne vint pas
Frappe à la porte du
Destin
Un Ange ouvre
et souriait
La démence dans les yeux
et le sexe entre les jambes
La vigne le fait pisser
Un ange frappa à la porte
et lança que l'enterrement
aurait lieu
AUJOURD'HUI
Puis, furieux
Il s'écria:
La moto du Sahel s'effondra sur le sol
et lança un cri au Sable
La dune répondit en mille et un échos
à cette prise de mots, cet écho.
Les lamentations ne viennent
qu'en dernier lieu, avec un souffle
dans la bouche béate du crucifix.
Le tiroir ouvert a enfoui plus d'une vie
Derrière le gilet pare-balles
de la sécurité présidentielle.
La foi viendra
en temps
et
en heure
Le goudron martelé
d'un piéton écrasé.
La peinture sur le plafond
cracha deux - trois fois
le prénom mort du Christ
Ô Monde, serais-tu déjà mort?
La mère frappa sur la hanche du petit enfant
Une fessée bien réclamée
Un droit qui dépasse le devoir
Un réveil secoua enfin le bateau
qui dormait en haut de la montagne de Java
La balle connaissait sa victime,
elle est sa belle-soeur
de sang
de sol
Et le sang coula sur le sol.
Un éveil secoua le sommeil
d'un geste lent mais
efficace
le tonnerre cogna
sur les parois du
fragment d?Étoiles
L'ours s?avança
sur les ruches
d'un nouveau miel.
Il coulait sous
les poils d'une putain.
Eau
Cheval cadencé
De la Résurrection
Un souffle naquit
dans l'ouragan d'un silence.
Les mots déterrés
ont souffert
d'apoplexie
Un acte prémédité
du Destin
La rage,
Le chien embué
Cavale dans les rues
sans nom
d'une villa
attristée.
La chienne est vie
et la liqueur pourrit
Les chiens errants dans les rues du désert
Un homme s'assoit à côté et voit
un éclat de songe s'approche.
Lions assoiffés de sang.
L'acte est finit,
Passons à la prochaine scène!
Je suis l'enfant du désordre,
du divorce vacant,
Mort dans les tombes ouvertes.
Le vin nouveau
sera d'un dieu
vigneron,
apiculteur à ses heures.
La boisson de feu
s'avala d'un trait
et mit le feu
à l'?sophage
La porte se ferma
et attendit qu'un
survivant s'épanche
sur le zinc.
Découvreur d'un Autre Monde
José ne connu pas
La terre du Roi d?Éthiopie,
le Lion dévore
Babylone naquit en ce jour
du 4 Février
Et sa mort ne vint pas
Frappe à la porte du
Destin
Un Ange ouvre
et souriait
La démence dans les yeux
et le sexe entre les jambes
La vigne le fait pisser
Un ange frappa à la porte
et lança que l'enterrement
aurait lieu
AUJOURD'HUI
Puis, furieux
Il s'écria:
SOYEZ ODIEUX &
VOUS SEREZ AUX ANGES
VOUS SEREZ AUX ANGES
La moto du Sahel s'effondra sur le sol
et lança un cri au Sable
La dune répondit en mille et un échos
à cette prise de mots, cet écho.
Les lamentations ne viennent
qu'en dernier lieu, avec un souffle
dans la bouche béate du crucifix.
Le tiroir ouvert a enfoui plus d'une vie
Derrière le gilet pare-balles
de la sécurité présidentielle.
La foi viendra
en temps
et
en heure
Le goudron martelé
d'un piéton écrasé.
La peinture sur le plafond
cracha deux - trois fois
le prénom mort du Christ
Ô Monde, serais-tu déjà mort?
La mère frappa sur la hanche du petit enfant
Une fessée bien réclamée
Un droit qui dépasse le devoir
Un réveil secoua enfin le bateau
qui dormait en haut de la montagne de Java
FRAPPA & TOMBA
La balle connaissait sa victime,
elle est sa belle-soeur
de sang
de sol
Et le sang coula sur le sol.
Un éveil secoua le sommeil
d'un geste lent mais
efficace
le tonnerre cogna
sur les parois du
fragment d?Étoiles
L'ours s?avança
sur les ruches
d'un nouveau miel.
Il coulait sous
les poils d'une putain.
DADVSI
http://www.dailymotion.com/tag/humour/video/27556
pour ou contre l'échange de musique sur internet... :) version southpark
pour ou contre l'échange de musique sur internet... :) version southpark
05 mars 2006
a quoi rium ?
- "Dans la matrice, nous sommes tous, des poissons aveugles dans un aquarium...
... Puis, Il déborde, et nous nous évadons."
... Puis, Il déborde, et nous nous évadons."
04 mars 2006
Arrachons le coeur des fontaines
et la dame est là
son sourire écarlate écarte les
feuilles de lierre qui la
décorent. Sa lueur éteint
celle des bougies. Ses deux
pieds se trouvent à
six pieds au-dessus du sol,
dans une flûte étroite.
La dame blanche se
revêt du manteau du
monde, qui contient peine,
souffrance, joie et
soulagement.
À vous de l'honorer
de vos demandes.
Toutes demandes non justifiées et non valables
seront refusées.
V06
et la dame est là
son sourire écarlate écarte les
feuilles de lierre qui la
décorent. Sa lueur éteint
celle des bougies. Ses deux
pieds se trouvent à
six pieds au-dessus du sol,
dans une flûte étroite.
La dame blanche se
revêt du manteau du
monde, qui contient peine,
souffrance, joie et
soulagement.
À vous de l'honorer
de vos demandes.
Toutes demandes non justifiées et non valables
seront refusées.
V06
03 mars 2006
La memoire de l'oublie
J'ai le temperament de neige
Belle et froide
Blanche et glacee
J'ai la memoire de l'oublie
Si facile
et si docile
Un flacon de beatitude
Un flocon d'une seconde
Saisons des conforts
Hiver matinal
Une campagne, ma compagne
Verte et chaude
Ventee et ensoleillee
Un carnivore enneige
Viens te rouler dans la neige
l'Hiver sera rude
jusqu'au bout des doigts
Verdure
Belle et froide
Blanche et glacee
J'ai la memoire de l'oublie
Si facile
et si docile
Un flacon de beatitude
Un flocon d'une seconde
Saisons des conforts
Hiver matinal
Une campagne, ma compagne
Verte et chaude
Ventee et ensoleillee
Un carnivore enneige
Viens te rouler dans la neige
l'Hiver sera rude
jusqu'au bout des doigts
Verdure
02 mars 2006
LE MITARD - trust
Oui, Madame !
Il tourne, il tourne en des milliers de pas
Qui ne mènent nulle part
Dans un monde de béton, aux arbres de barreaux
Fleuris de désespoir
Inhumain..., rétréci..., sans aucun lendemain.
Sa pitance est glissée sous une grille à terre
Et dans un bol l'eau... pour qu'il se désaltère.
Il est seul..., sans soleil
Et n'a même plus son ombre.
Infidèle compagne, elle s'en est allée
Refusant d'être esclave de ce vivant mort-né.
Il tourne... il tourne et tournera toujours
Jusqu'au jour où vaincu en animal blessé
Après avoir gémi en une unique plainte
Il tombera à terre et se laissera crever.
Fleury-Mérogis...
Un jour de septembre 1976
Où j'existait si peu
Que je n'étais même pas "personne"
Fleury-Mérogis...
Un jour de septembre 1976
Où j'existait si peu...
Mesrine
Il tourne, il tourne en des milliers de pas
Qui ne mènent nulle part
Dans un monde de béton, aux arbres de barreaux
Fleuris de désespoir
Inhumain..., rétréci..., sans aucun lendemain.
Sa pitance est glissée sous une grille à terre
Et dans un bol l'eau... pour qu'il se désaltère.
Il est seul..., sans soleil
Et n'a même plus son ombre.
Infidèle compagne, elle s'en est allée
Refusant d'être esclave de ce vivant mort-né.
Il tourne... il tourne et tournera toujours
Jusqu'au jour où vaincu en animal blessé
Après avoir gémi en une unique plainte
Il tombera à terre et se laissera crever.
Fleury-Mérogis...
Un jour de septembre 1976
Où j'existait si peu
Que je n'étais même pas "personne"
Fleury-Mérogis...
Un jour de septembre 1976
Où j'existait si peu...
Mesrine
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